Dans un contexte de crise sanitaire mondiale, la France traverse une crise économique sans précédent.
Si certaines entreprises parviennent à accélérer leur transformation et accroître leurs parts de marché, d’autres vont défaillir et ne pourront être sauvées qu’au prix d’une stratégie de retournement rigoureuse et financée, voire d’une reprise le plus souvent judiciairement organisée.
Compte tenu de leur efficacité (70% de réussite), les chefs d’entreprises devront privilégier, autant que possible, le recours aux outils de traitement amiable et confidentiel des difficultés. Dès lors, il peut être attendu (si ce n’est espéré compte tenu de leur efficacité) une augmentation significative du nombre d’ouvertures de procédures de mandat ad hoc et de conciliation.
Il est évident que le recours aux procédures préventives continue de nécessiter que les dirigeants soient informés de leur l’existence, qui s’exercent dans une totale confidentialité, et qu’ils y aient recours le plus tôt possible pour favoriser leur réussite.
Dans ce contexte, LA CLINIQUE DE LA CRISE s’inscrit dans une approche disruptive des modalités d’exercice des missions de traitement amiable des difficultés des entreprises.
En effet, l’ambition de LA CLINIQUE DE LA CRISE est de permettre au plus grand nombre l’accès aux procédures de prévention en élargissant, notamment, le champ des professionnels susceptibles d’intervenir en qualité de mandataire ad hoc et de conciliateur.
Le positionnement de LA CLINIQUE DE LA CRISE consiste à permettre la désignation d’experts sectoriels rompus aux techniques de négociation en temps de crise.
Permettre la désignation, sous le contrôle de la juridiction compétente, d’un professionnel aguerri, aux côtés de l’intervention historique des mandataires de justice a pour ambition d’offrir un choix plus large aux chefs d’entreprises, dans le respect des règles en vigueur et des bonnes pratiques de Place.